Name: ATTRIBUÉ À RODRIGO DE VILLANDRANDO (1588-1622)
Brand: Portrait d'une femme portant une fraise et un collier de perles, en buste
Price: 9500.00 EUR
Availability: OutOfStock

ATTRIBUÉ À RODRIGO DE VILLANDRANDO (1588-1622)
Portrait d'une femme portant une fraise et un collier de perles, en buste
huile sur toile
53,5 x 42,5 cm (21¹⁄₁₆ x 16³⁄₄ in.)

Vente anonyme, Christie's, Amsterdam, 9 mai 2000, lot 85 (comme suiveur de Frans Pourbus l'Ancien).
Chez Rafael Valls, Londres, en 2007 (comme Juan Pantoja de la Cruz).

M. Kusche, Juan Pantoja de la Cruz y sus seguidores. B. González, R. de Villandrando y A. López Polanco, Madrid, 2007, p. 393 (comme '(...) pienso que debe de ser tambièn de Villandrando [je pense qu'il doit également s'agir de Villandrando]', vers 1619), reproduit en couleurs, fig. 321.
T. McKeough, Robert Couturier. Designing Paradises, New York, 2014, reproduit en couleurs in situ p. 44.

ATTRIBUTED TO RODRIGO DE VILLANDRANDO, PORTRAIT OF A WOMAN WITH A RUFF AND A PEARL NECKLACE, BUST-LENGTH, OIL ON CANVAS

Maria Kusche, a specialist in portraiture at the court of King Philip II of Spain (1527-1598), believes this portrait to be the work of Rodrigo de Villandrando (1588-1622), citing similarities with Villandrando's portrait of Doña Mariana de Mendoza in the Carmelite church in Cuerva (Toledo), which she dates, as the present painting, to c. 1619. Rodrigo de Villandrando’s style is a continuation of the legacy of the court painter Juan Pantoja de la Cruz (1553-1608), with whom he apprenticed. The sitters’ same concentrated gaze, and the same heavy emphasis on rendering physical features can be seen in both (M. Kusche, 2007, op. cit., pp. 392-393).

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Lot Essay

L’historienne de l’art espagnole Maria Kusche, spécialiste de l’art du portrait à la cour du roi Philippe II d’Espagne (1527-1598), pense que ce portrait est l’œuvre du peintre Rodrigo de Villandrando (1588-1622), s’appuyant entre autres sur les similarités que le tableau présente avec le portrait de Doña Mariana de Mendoza peint par Villandrando conservé dans l’église des Carmélites de Cuerva (Tolède) qu’elle date tout comme notre portrait vers 1619. Rodrigo de Villandrando s’inscrit stylistiquement dans l’héritage du peintre de cour dont il fût l’apprenti, Juan Pantoja de la Cruz (1553-1608). On y retrouve ce même regard concentré du modèle, ainsi que cette importance accordée au rendu des caractéristiques physiques (M. Kusche, 2007, op. cit., pp. 392-393).